Mexico
Nohuacal, Campeche, Mexico, January 2003.
Very dynamic Ernilda Chan, we met her in the Campeche market, by some colorful fruit stands. With a wide smile she invited us to her village inland, run by her son. Posing in the family orchard with her older sister who speaks only a Mayan dialect. La très dynamique Ernilda Chan pose avec sa soeur aînée, qui ne parle qu’un dialecte maya, dans leur verger, le plus beau de ce village administré par son fils.
Uxmal, Yucatán, Mexico, January 2003.
Copan, Tikal, Tulum, Chichén Itzá, Uxmal (here), Edzna, Palenque, one temple in the Maya series we visited, extending as a necklace around the Yucatan peninsula, its Central American base, and the Chiapas highlands. Un des temples que nous avons visités, formant un collier autour de la péninsule du Yucatan, sa base centroaméricaine et les haut-plateaux du Chiapas.
Tulum, Quintana Roo, Mexico, January 2003. Sunset, the last beauty left on an overcrowded, overdeveloped, overdevastated Maya coast which has lost to mass tourism all of its original hospitality and authenticity. Le coucher de soleil est le dernier vestige de beauté d’une Côte maya hyper-comble, hyper-dévelopée, hyper-ravagée par le tourisme de masse, où rien ne reste de l’hospitalité et l’authenticité originelles.
Coming from one of the resorts along the Costa Maya, a party of jolly, Canadians tourists invaded the collective minivan we were riding. It was not long before they started cracking jokes of the style, when one of them kept the door open for a Mexican hotel cleaning lady to get off, “You found a good job, you should go for a career change”, igniting a roaring laughter. Playa del Carmen, the jumping point to Cozumel Island, finished us off, and we scrambled for the next available minivan to take us away from the flowery-shirted and shorts-wearing throngs, the showy boutiques, the thundering disco music.
Venant d’un des nombreux complexes de luxe sur la Costa Maya, un groupe de joyeux touristes canadiens a envahi notre camionnette. Ils n’ont pas attendu longtemps avant de commencer leurs blagues douteuses, du genre, quand l’un d’entre eux a tenu la portière ouverte pour laisser sortir une femme de chambre mexicaine, “Tu as trouvé un bon boulot, tu devrais changer de métier”, déclenchant l’hilarité générale. Playa del Carmen, le point de chute pour l’île de Cozumel, nous a achevés. Nous nous avons sauté dans le premier bus collectif qui nous a entraînés loin de cette foule homogène, vêtue de chemises bariolées et de shorts assortis, ces boutiques de mauvais goût et cette musique disco tonitruante.
Palenque, Chiapas, Mexico, January 2003.
Poison Territory (Territorio envenenado), Subhuman — Santo, The Silver Mask (Infra-Terrestrial — Santo, el enmascarado de plata), The Night of The Half-Breed (La noche de los cholos), Like a Bunch of Rats (Como ratas hacinadas), The Female Beast (La fiera), Fucked Up For Being Queer (Lo caparon por culero), all “movies” showing in Zapatista territory. A government counter-offensive to win the hearts and minds of the people?
Territoire empoisonné, Infra-humain — Santo, le masque d’argent, La nuit des bâtards, Comme un tas de rats, La bête féroce, Queuté parce qu’il était homo, tous “films” offerts au public en territoire zapatiste. Une contre-offensive du gouvernement pour gagner les coeurs et les esprits de la population?
Celestún, Yucatán, Mexico, January 2003.
One was a former Cuban arm-smuggler, the other a current Mexican drunk, but they led a jolly and rummy birthday celebration for another Cuban exile married to a 40-year younger Mexican — all by the Yucatán Channel separating Cuba from the peninsula.
L’un était un ancien traffiquant d’armes cubain, l’autre un actuel ivrogne mexicain, et tous deux célébraient, avec de la verve et du rhum, l’anniversaire du troisième, un autre exilé cubain, marié une Mexicaine de 40 ans sa cadette — tout cela de l’autre côté du détroit de Yucatán séparant Cuba de la péninsule.